27.8.08

Colette / Fake or not ?

Colette a tout juste réouvert ses portes avec un nouveau design conçu par les japonais de Wonderwall. Pour l'occasion, Original Fake a réalisé un tshirt vendu exclusivement du côté de la rue St Ho.

22.8.08

Devendra Banhart et Natalie Portman à Bollywood

“Carmensita”, c'est le nouveau clip de Devendra Banhart. C'est avec Natalie Portman. Et c'est à la sauce Bollywood.
Il fallait oser... Devandra l'a fait.

Souvenir d'Ibiza

Parce qu'Ibiza ce n'est pas que le Pacha, les Burger King et les méduses... mais un peu quand même...

8.8.08

Nostalgie de mes 18 ans

Ces derniers temps, j'ai eu envie de me replonger dans mes cds d'ado.
Parmi toutes les perles retrouvées, je constate que je suis toujours aussi fan du son du groupe James et particulièrement de leur titre Laid sorti en 1993.
Après une rapide recherche, je tombe sur le site (tout pourri) du leader - Tim Booth - annonçant une prochaine reformation. Doit-on se réjouir de ces énièmes retrouvailles après le flop du retour des Happy Mondays ?

7.8.08

Lets Dance avec Kulte

Pour célébrer sa nouvelle collection Lets Dance, la marque Kulte vient de réaliser un joli clip avec Grégoire Pierre sur une musique originale de AVIA.

Sally - 1992 - USA



Repérée sur le blog Sexy People (délicatement sous-titré "A Celebration of The Perfect Portrait").

5.8.08

Santogold, le buzz de l'été

Annoncé partout comme l'un des albums de l'année. Le phénomène Santogold arrive en France avec un 1er album éponyme produit par Diplo, Switch, FreQ Nasty et Disco D qui mêle electro, rock et dub.



et comme la dame est bien généreuse, elle nous offre une mixtape disponible ici.

3.8.08

Superdome au Palais de Tokyo - l'expo Waouh

Il y avait longtemps que je n'avais pas été aussi touché, emballé, retourné, surpris... par une expo. L'expo Superdome (jusqu'au 24 août au Palais de Tokyo) est juste canon.
Je retiens particulièrement l'expérience extrême vécue dans l'installation Dump de Christoph Büchel.



Non ce n'est pas un décharge publique, c'est une oeuvre d'art. C'est dans un musée, c'est gardé par un gardien, de la vraie poussière jonche le sol et la montagne de détritus est réellement saississante.

Pour vivre cette expérience inattendue, il faut s’inscrire, attendre, s’armer de patience (j'ai eu du bol, un inscrit n'est pas venu au moment où j'arrivais), signer une décharge (bien nommée !), se coiffer d’un casque avant de pouvoir pénétrer dans l’installation par un tuyau qui ne mesure pas plus d'un mètre de diamètre mais est long d'au moins 20 mètres.

On pénètre donc, deux à la fois seulement, par un boyau qui s’enfonce sous la masse des ordures qui obstruent tout l’arrière du Palais et, accueilli par un pompier-guide, on passe 20 ou 30 minutes dans un labyrinthe de 400 m2 au plafond bas, où on se cogne sans cesse, allant de pièce en pièce.

On passe d’un taudis clandestin à une sweatshop, d’un atelier de mécanique à un foyer pour immigrés. On voit au passage un autel de prière, une salle de classe coranique, des ateliers de fabrication de faux Coca, de récupération de mégots, de reliure de livres en lambeaux ou de remplissage de cartouches d’encre avec des seringues. Le tout au milieu de vêtements, de matelas, de bouteilles en plastique, de bidons récupérés. Tout au bout, une salle de banquet, mi banquet d’Europe de l’Est, mi patronage suisse.



On ressort en nage, épuisé, émerveillé. Tout autant que le discours, ou que la prouesse technique de construction, c’est la capacité à faire vivre au spectateur une expérience, à l’engager dans l’oeuvre qui m’a fortement remué.

Alister - Qu'est ce qu'on va faire de toi ?

Une p'tite chanson qui me trote dans la tête.